Un jour peut-être, un homme regar­dera l’horizon – il importe peu que ce soit de cette planète ou d’une autre – et se dira : « Voilà, c’est fini. » Son regard sera le dernier.

Peut-être pensera-t-il aux sym­pho­nies et aux fresques, peut-être à une ritour­nelle et au parfum d’une frian­dise. Peut-être pensera-t-il à ses combats ou à la chair aimée. Peut-être ne sera-il que dans le présent, à regar­der l’horizon comme je le fais, sans regret ni espérance.