Les Nières

Les Nières sont un hameau et l’humanité se meurt.

Au cœur de l’Hérault, coupées du monde, Les Nières pour­suivent une matu­ra­tion commencée il y a des millénaires. Nichés au sein d’une végétation luxu­riante de châtaigniers et de chênes verts, sur une mon­tagne traversée de gale­ries oubliées, sept per­son­nages se retrouvent isolés, libérés, explorateurs.

Un roman aux accents alchi­miques où la sen­sua­lité des êtres et la nature triom­phante tressent les brins d’un che­mi­ne­ment ini­tia­tique qui emporte le lecteur aux limites du réel.

Les Nières

Extra-Small 2017

Participation pro­chaine à l’exposition Extra-Small 2017 orga­ni­sée par la Maison des Arts de Schaerbeek (chaus­sée d’Haecht 147) du ven­dredi 8 décembre au dimanche 10 décembre 2017. Je pré­sente de petits formats pho­to­gra­phiques sur la vie schaerbeekoise.

Le ver­nis­sage aura lieu ven­dredi 8 décembre de 19:00 à 22:00.

[Détails sur le site de la Maison des Arts ou sur Facebook.]

(Méta-)physique du libre arbitre

Le Libre Arbitre

Mensa Belgique m’a convié à donner, le 28 juillet 2017, une confé­rence sur La (méta-)physique du libre arbitre. Elle aura lieu dans le beau quar­tier d’Outremeuse (Rue Grande-Bêche 35 à 4020 Liège).

Courants d’Airs 2017

La 12e édition de ce fes­ti­val des arts de la scène est acces­sible gra­tui­te­ment à l’initiative du Conservatoire royal de Bruxelles en Musique et Arts de la parole. Le 19 avril 2017, à 20:00 seront jouées trois oeuvres coécrites avec le com­po­si­teur belge Michel Lysight : Three Philosophers Songs, et les deux Regards sur Arlequin.

D’autres oeuvres ins­tru­men­tales de Michel Lysight sont pro­gram­mées (dont une créa­tion mon­diale), ainsi que le fan­tas­tique Tehillim de Steve Reich.

Sur scène : Quintette EtCaetera, Thibaut Louvel (piano), Stann Duguet (vio­lon­celle), Sesim Bezduz (violon), Ninon Demange (Soprano), Romain Dayez (Baryton), Pierre Quiriny (marimba), Antoine Dandoy (marimba) et le Royal Conservatory of Brussels Orchestra sous la direc­tion de Philippe Gérard.

Coordonnées et réservation

Le Libre Arbitre

Le Libre ArbitreLe Libre Arbitre : Esquisse d’une méta­phy­sique de la liberté trouve désor­mais sa place dans le cata­logue de L’Harmattan (Paris).

La des­crip­tion de l’éditeur ne demande aucune retouche : « Notre expé­rience quo­ti­dienne nous le prouve : nous prenons des déci­sions pour nous dépla­cer, pour penser, pour agir et réagir. Nous prenons ces déci­sions selon notre nature et de notre envi­ron­ne­ment, mais aussi en fonc­tion de notre volonté propre. C’est cette carac­té­ris­tique essen­tielle qui confère à l’humain son libre arbitre.
Toutefois, rien dans la science ne vient confor­ter cette for­mi­dable intui­tion. Au contraire, les modèles contem­po­rains des neu­ros­ciences et des science cog­ni­tives tendent à faire de nous des machines impar­faites, et à relé­guer la volonté au rang d’illusion.
Dans ce court essai, Alain Van Kerckhoven démontre que le libre arbitre a tou­jours été ins­tru­men­ta­lisé pour jus­ti­fier des pos­tures reli­gieuses, phi­lo­so­phiques ou poli­tiques. L’apparition de nou­veaux outils de connais­sance permet pour la pre­mière fois d’en faire un sujet d’étude ration­nelle.
Les conclu­sions nous entraînent aux fron­tières de la science et de la phi­lo­so­phie, au cœur de l’expérience humaine. »

Disponible sur Amazon, sur le site de l’éditeur ou mieux encore, chez votre libraire favori…

La Complainte des esclaves au catalogue de Delatour

La Complainte des esclavesLa Complainte des Esclaves est une courte pièce humo­ris­tique écrite à nouveau en col­la­bo­ra­tion avec le com­po­si­teur Michel Lysight. Les esclaves dont il est ques­tion sont les jeunes cho­ristes, sup­pliant leur chef de chœur de ne plus jamais leur donner à chanter de musique contem­po­raine. La musique est un clin d’œil pas­ti­chant les grands clas­siques, tout en conser­vant la touche per­son­nelle du compositeur.

La pièce, pour choeur d’enfants à 2 voix, 2 per­cus­sion­nistes et 2 ins­tru­ments ou piano, est dis­po­nible en version papier ou élec­tro­nique aux Éditions Delatour.

Les Chants de Casanova édités !

Les Chants de CasanovaLes Chants de Casanova sont fina­le­ment dis­po­nibles dans le cata­logue de Delatour, France.

Cette vaste fresque lyrique de 45 minutes pour contre-ténor (ou baryton), choeur mixte et grand orchestre sym­pho­nique fut écrite en col­la­bo­ra­tion avec le com­po­si­teur belge Michel Lysight.

Écrits de 2005 à 2006, Les Chants de Casanova ne sont pas un récit linéaire de la vie de Casanova, mais plutôt une évo­ca­tion en un prélude et six chants de divers évé­ne­ments mar­quants qui ont jalonné le par­cours de ce fas­ci­nant per­son­nage. Les ambiances musi­cales, très variées, sont carac­té­ris­tiques du style du com­po­si­teur : lyrisme, expres­sion, vastes mélo­dies, sub­ti­lité des cou­leurs orches­trales et rythmes impla­cables s’y côtoient de manière naturelle.

La créa­tion mon­diale de cette pièce maî­tresse du com­po­si­teur a eu lieu le 29 janvier 2010 dans la Grande Salle du Conservatoire royal de Bruxelles et le 30 janvier à l’Aula Magna de L’Université catho­lique de Lille par les Chœurs de l’Union Européenne, les Chœurs et l’Orchestre du Conservatoire royal de Bruxelles sous la direc­tion de Pierre-Yves Gronier (chefs de chœurs : Dirk De Moor et Charles Michiels).

Deux Regards sur Arlequin : Création mondiale

Création mon­diale des Deux Regards sur Arlequin par l’ensemble Musiques Nouvelles sous la direc­tion Jean-Paul Dessy avec Pauline Claes (mezzo-soprano), Claire Bourdet (violon & alto), Jean-Pol Zanutel (vio­lon­celle), Berten D’Hollander (flûte), Charles Michiels (cla­ri­nette & cla­ri­nette basse) et Kim Van den Brempt (piano).

La créa­tion a lieu le 14 avril 2016 à Mons dans le cadre du cen­te­naire de la créa­tion du Pierrot Lunaire d’Arnold Schoenberg.

Deux regards sur Arlequin

Deux regards sombres et nihi­listes sur Arlequin, décons­trui­sant le gentil poème d’Albert Giraud mis alors en musique par Arnold Schönberg dans son Dreimal sieben Gedichte aus Albert Girauds « Pierrot lunaire ». Cette fois encore, la musique sauvera et portera les vers. 

Et bonne critique sur Three Philosophers Songs

Bonne cri­tique aussi, dans le même numéro de novembre de L’Éducation Musicale (Paris, France) : 

Sur un texte en anglais, l’auteur nous pré­sente trois contes phi­lo­so­phiques libre­ment ins­pi­rés de trois mythes occi­den­taux : le premier, inspiré de Caïn et Abel, le deuxième du destin de l’acacia et le dernier s’inspire de la légende de Saint Nicolas. L’ensemble laisse un rôle majeur aux parties ins­tru­men­tales qui dia­loguent constam­ment avec le chan­teur. Il y a un grand lyrisme dans cette œuvre attachante.

Bonne critique sur El Niño de Atocha

Bonne cri­tique dans le numéro de novembre de L’Éducation Musicale (Paris, France) : 

Créée le 13 mai 2012 à Bruxelles, cette œuvre a été ins­pi­rée par les confi­dences faites à l’auteur du texte par une jeune femme de répu­blique domi­ni­caine. El Niño de Atocha est un « enfant Jésus » local qui pro­té­geait des sor­ciers et calmait les peurs de la petite fille. L’alternance de deux thèmes musi­caux, l’un à carac­tère de ber­ceuse popu­laire, l’autre plus ryth­mique crée une ambiance typique. Bien que conso­nant, l’ensemble demande un chœur aguerri à cause de la vir­tuo­sité de cer­tains pas­sages, d’autant plus qu’il est impor­tant que le texte soit par­fai­te­ment com­pré­hen­sible. Mais on sera récom­pensé du travail demandé par la beauté de l’œuvre.

El Niño de Atocha disponible !

El Niño de AtochaLe texte de El Niño de Atocha (2011, © 2015 Éditions Delatour, France) est né d’une confi­dence que fit à l’auteur une jeune femme ori­gi­naire de République Dominicaine. Comme tous les jeunes enfants de cette île, elle avait eu très peur des sor­ciers et, sous ses draps de petite fille, elle priait alors El Niño de Atocha. Cette icône est une image popu­laire de l’enfant Jésus, assis sur un petit trône avec un chapeau et une plume, un bâton de pèlerin, une gourde et un panier conte­nant du pain. À 18 ans, elle quitta sa famille, son pays et le poids de ce catho­li­cisme syn­cré­tique. Si, jusqu’à présent, la vie ne lui fut guère géné­reuse, elle ne regrette pas d’avoir laissé der­rière elle ce petit berger un peu kitch et n’a de nos­tal­gie que pour sa naïveté perdue.

La musique, écrite par le com­po­si­teur belge Michel Lysight, entre­mêle deux thèmes musi­caux, l’un à carac­tère de ber­ceuse popu­laire et l’autre plus ryth­mique, alternent, chaque fois traités de manière dif­fé­rente avant de fina­le­ment se super­po­ser et d’amener une très vir­tuose conclusion.

La créa­tion mon­diale a eu lieu le 13 mai 2012 à Bruxelles par Olivier Berten, Nedjelka Candina, Johan Fostier, Maria Helena Schoeps et Gilles Wiernik.

Three Philosophers Songs est édité.

Three Philosophers SongsThree Philosophers Songs est dis­po­nible chez Delatour, notre désor­mais éditeur habituel.

Cette œuvre pour Baryton, flûte, violon, vio­lon­celle et piano est à nouveau écrite en col­la­bo­ra­tion avec le com­po­si­teur belge Michel Lysight et résulte d’une com­mande de Mireille Delvaux.

Certains sym­boles ont tra­versé les civi­li­sa­tions et les âges, uti­li­sant comme véhi­cules des mythes qui se per­pé­tuent de mille façons : récits reli­gieux, chan­sons popu­laires ou décors de cathé­drales par exemple. Les plus forts de ces sym­boles ont nourri (et été nourris par) une dis­ci­pline ini­tia­tique à la fois spé­cu­la­tive et opé­ra­tive : l’alchimie.
 
Three Philosophers Songs – que l’on pour­rait tra­duire par « Trois Mélodies phi­lo­so­phales » – évoque trois de ces mythes occi­den­taux sous un éclai­rage philosophal.
  1. The Fruits of the Earth se réfère à l’étrange his­toire de Caïn et Abel. La musique est construite sur la tech­nique de la basse obs­ti­née. Dans les divers épi­sodes qui se suc­cèdent, la voix et les ins­tru­ments éta­blissent un dia­logue sou­li­gnant le carac­tère dra­ma­tique du récit.
  2. Roots and Thorns évoque de mul­tiples destins de l’acacia. La pièce s’ouvre sur une suc­ces­sion d’accords mineurs dis­tants les uns des autres d’un inter­valle de tierce (mineure ou majeure). Une mélodie se déploie vers la fin de cette longue intro­duc­tion. Suit alors un passage central plus agité ryth­mi­que­ment où le chant prend le rôle central, soutenu par les ins­tru­ments. Une troi­sième section voit revenir la suc­ces­sion d’accords et la mélodie initiale.
  3. The Salt of the Earth revi­site la très alchi­mique légende de Saint Nicolas. L’utilisation d’un accord sans tierce donne un carac­tère « médié­val » à la courte intro­duc­tion ins­tru­men­tale. La voix chante alors en boucle une mélodie simple, très expres­sive, et c’est l’ensemble ins­tru­men­tal qui crée les dif­fé­rentes atmo­sphères et varia­tions de carac­tère. La conclu­sion, pure­ment ins­tru­men­tale, utilise essen­tiel­le­ment la mélodie prin­ci­pale et finit sur l’accord sans tierce du début.
La créa­tion mon­diale a eu lieu le 8 novembre 2014 au Conservatoire royal de Bruxelles par l’ensemble Grupo 46, dédi­ca­taire de l’œuvre : Alejandro Beresi (flûte), Claudine Schott (violon), Guillermo Cerviño Wood (vio­lon­celle), Carlos Palazzo (baryton) et Paule Van den Driessche (piano).

Anamnèse (réduction chant-piano) est sorti.

AnamnèseLa réduc­tion chant d’Anamnèse (ori­gi­nel­le­ment pour chœur mixte et orchestre à cordes) est dis­po­nible aux Éditions Delatour (France)

Écrite en col­la­bo­ra­tion avec le com­po­si­teur belge Michel Lysight, cette pièce s’ouvre sur une basse obs­ti­née de six notes en valeurs régu­lières ; les dif­fé­rents pupitres de l’orchestre construisent sur cette basse un choral sur lequel se greffent pro­gres­si­ve­ment deux motifs mélo­diques énoncés par les voix du chœur. Le premier motif est chanté en canon à trois parties par les sopra­nos, altos et ténors tandis que seules les basses chantent le deuxième.

Le texte est né du constat que les six camps d’extermination nazis de la seconde Guerre Mondiale furent bâtis en Pologne. Ce fait his­to­rique, en contra­dic­tion avec le souci de ren­de­ment et d’optimisation des concep­teurs de la Shoah, n’a jamais reçu d’explication satis­fai­sante. L’auteur imagine le ques­tion­ne­ment de des­cen­dants polo­nais sur le rôle de leurs parents dans l’une des plus grandes entre­prises de déshu­ma­ni­sa­tion de l’histoire.

Chaque voix chante son propre texte, indé­pen­dam­ment des autres, incar­nant d’abord l’horreur des pri­son­niers, puis celle, à quelques géné­ra­tions de dis­tance, des jeunes Polonais décou­vrant l’histoire. Furtivement, ces voix indi­vi­duelles convergent vers les mêmes sono­ri­tés, les mêmes mots et la même conscience.

La musique, très lyrique et expres­sive lorsque le texte énonce des paroles de pri­son­niers, devient net­te­ment plus dis­tan­ciée et froi­de­ment ryth­mique dans la partie cen­trale, au moment où le chœur égrène sys­té­ma­ti­que­ment les noms de chaque camp, comme pour en évoquer la totale déshu­ma­ni­sa­tion. La der­nière partie voit s’inverser les rôles de l’orchestre et du chœur : ce dernier chante le choral du début tandis que les deux motifs mélo­diques sont joués par l’orchestre jusqu’à ce que le silence sur­vienne abruptement.

L’Espace entre les choses

Recommencer à publier, de petites notes, images. Des billets de villes sous la pluie, de gestes hési­tants, de mots que le jour et la nuit tentent d’échanger, de lignes de fuite et de regards riant ou perdus.

Le flux serait court, l’iPhone dans la poche de mon jean étant mon seul bloc-notes.

Pas non plus d’édition, seule­ment des cor­rec­tions. Retrouver l’instantanéité du regard et de l’écrit, avoir l’illusion de sauver ce que l’on aper­çoit entre les choses.

Tout sera là, dans L’Espace entre les choses.

Three Philosophers’ Songs : Création mondiale

Création mon­diale de Three Philosophers’ Songs (Trois mélo­dies phi­lo­so­phales), œuvre pour Baryton, flûte, violon, vio­lon­celle et piano co-écrite avec le com­po­si­teur Michel Lysight en 2014 et com­man­dée par Mireille Delvaux. pour l’ensemble Grupo 46.

Certains sym­boles ont tra­versé les civi­li­sa­tions et les âges, uti­li­sant comme véhi­cules des mythes qui se per­pé­tuent de mille façons : récits reli­gieux, chan­sons popu­laires ou décors de cathé­drales par exemple. Les plus forts de ces sym­boles ont nourri (et été nourris par) une dis­ci­pline ini­tia­tique à la fois spé­cu­la­tive et opé­ra­tive : l’alchimie.

Three Philosophers Songs évoque trois de ces mythes occi­den­taux sous un éclai­rage phi­lo­so­phal. The Fruits of the Earth se réfère à l’étrange his­toire de Caïn et Abel. La musique est construite sur la tech­nique de la basse obs­ti­née. Dans les divers épi­sodes qui se suc­cèdent, la voix et les ins­tru­ments éta­blissent un dia­logue sou­li­gnant le carac­tère dra­ma­tique du récit. Roots and Thorns évoque de mul­tiples destins de l’acacia. La pièce s’ouvre sur une suc­ces­sion d’accords mineurs dis­tants les uns des autres d’un inter­valle de tierce (mineure ou majeure). Une mélodie se déploie vers la fin de cette longue intro­duc­tion. Suit alors un passage central plus agité ryth­mi­que­ment où le chant prend le rôle central, soutenu par les ins­tru­ments. Une troi­sième section voit revenir la suc­ces­sion d’accords et la mélodie ini­tiale. The Salt of the Earth revi­site la très alchi­mique légende de Saint Nicolas. L’utilisation d’un accord sans tierce donne un carac­tère « médié­val » à la courte intro­duc­tion ins­tru­men­tale. La voix chante alors en boucle une mélodie simple, très expres­sive, et c’est l’ensemble ins­tru­men­tal qui crée les dif­fé­rentes atmo­sphères et varia­tions de carac­tère. La conclu­sion, pure­ment ins­tru­men­tale, utilise essen­tiel­le­ment la mélodie prin­ci­pale et finit sur l’accord sans tierce du début.

Le concert aura lieu le 8 novembre 2014 au Conservatoire Royal de Bruxelles et sera donné par l’ensemble Grupo 46 : Alejandro Beresi (flûte), Claudine Schott (violin), Guillermo Cerviño Wood (cello), Carlos Palazzo (bari­tone) and Paule Van den Driessche (piano).

Quatre poèmes : Première lecture

Création mon­diale aujourd’hui à l’Auditorium Érik Satie (La Courneuve, France) par Choï Sinwood (accor­déon), Léo Deschamps, Jean-Baptiste Letzelter et l’ensemble choral La Croche Choeur. Le concert fut ponctué de flat­teuses mais injus­ti­fiées lec­tures de quatre de mes poèmes : Six fins ultimes, Le Commissariat, Le Snack et Le Conquérant.

Anamnèse : Création belge

Cette œuvre est un travail de mémoire centré sur ce constat : les six camps d’extermination nazis qui firent près de 3 mil­lions de vic­times et qui furent un ins­tru­ment central de la Shoah, furent tous situés en Pologne.

Anamnèse est une œuvre écrite en col­la­bo­ra­tion avec Michel Lysight qui en a composé la musique. La créa­tion mon­diale a eu lieu en 2001 à Varsovie (Pologne) par AMFC Vocal consort, I Musici Brucellensis (dir. Zofia Wislocka).

La créa­tion belge aura lieu le 2 octobre 2011 à Bruxelles par les Choeurs de l’Union Européenne (dir. Dirk De Moor) et l’Orchestre du XXIe siècle (dir. Michel Lysight).