Lorsque nous créons un objet, nous l’imaginons souvent pré­servé des effets de l’âge. Pourtant, c’est la façon dont les contraintes de la phy­sique et de la chimie le feront vieillir qui lui confè­re­ront la noblesse ou l’oubli.
La rouille du monde est sa mémoire, son éclat est sa perte.