Fibonacci était une structure à deux faces. D’abord, c’était un service de gravure qui poursuivait les activités de l’atelier de copistes que la pianiste Mireille Gleizes et moi avions lancé à Temse en 1995. Bien sûr, l’évolution des technologies rendit la gravure informatique de partitions musicales à la fois plus simple et moins chère, en manière telle que les compositeurs n’éprouvèrent plus le besoin de passer par un service externe pour graver leurs propres partitions. Le second département de Fibonacci prit ainsi la main avec le lancement d’une édition principalement centrée sur des ouvrages musicaux pédagogique, à laquelle vint s’adjoindre une activité de production de disques autour d’un label fantastique : Kalidisc. Le catalogue Fibonacci est désormais inclus dans le catalogue New Consonant Music.