Le craquement de la branche morte, le glissement de la semelle sur la boue prise par le gel. Le pouls de la ville ne parvient plus jusqu’ici. Seule la lente respiration du monde.
« Attends-moi, ça glisse ! » Elle semble s’accrocher à son parapluie. L’escalier forestier n’en est pas un. Impératif de l’équilibre.
Rien n’est ce qu’il semble être. Ceux qui l’ignorent évitent ce lieu.