Notre expérience quotidienne nous le prouve : nous prenons des décisions pour nous déplacer, pour penser, pour agir et réagir. Nous prenons ces décisions en fonction de notre nature et de notre environnement, mais aussi en fonction de notre volonté propre. C’est cette caractéristique essentielle qui confère à l’humain son libre arbitre. Toutefois, rien dans la science ne vient conforter cette formidable intuition. Au contraire, les modèles des neurosciences et des science cognitives tendent à faire de nous des machines imparfaites, et à reléguer la volonté au rang d’illusion.

Essai sur l’ontologie du libre arbitre, L’Origine de la liberté a été publié dans Francs-Parlers 2007 par Éditions Espace de Libertés.