Recommencer à publier, de petites notes, images. Des billets de villes sous la pluie, de gestes hési­tants, de mots que le jour et la nuit tentent d’échanger, de lignes de fuite et de regards riant ou perdus.

Le flux serait court, l’iPhone dans la poche de mon jean étant mon seul bloc-notes.

Pas non plus d’édition, seule­ment des cor­rec­tions. Retrouver l’instantanéité du regard et de l’écrit, avoir l’illusion de sauver ce que l’on aper­çoit entre les choses.

Tout sera là, dans L’Espace entre les choses.