
Une échelle d’aluminium, quelques pas mal assurés, une trappe à manœuvrer et nous passons outre la frontière interdite.
Nous retrouvons le ciel. Le toit est encombré de buses, de reliefs dont nous n’identifions pas la fonction, d’autres trappes, condamnées. Le bord non sécurisé nous rappelle notre finitude et notre magnificence. La ville est en-dessous, bruisse et nous ignore.
Nous sommes Marc-Aurèle et nous marchons sur notre montagne. Le vent nous gonfle de vie.